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lundi 13 décembre 2010

Publicis Healthcare Communications Group : acquisition de Digital District

Publicis Healthcare Communications Group (PHCG)13 décembre 2010 - Renforçant ainsi l’offre numérique de Publicis Healthcare Communications Group - Publicis Groupe annonce aujourd’hui l’acquisition de Digital District, agence dont l’expertise est reconnue dans le domaine de la communication santé interactive. Digital District rejoint le réseau Publicis Healthcare Communications Group (PHCG), et sera intégrée dans la division numérique de celui-ci. Aleksandar Stojanovic conserve sa fonction de directeur-général de l’agence, qui est basée à Düsseldorf en Allemagne.

Fondée en 2002, Digital District est un spécialiste de la définition et de la réalisation de stratégies de communication numériques. L’agence propose un éventail complet et cohérent de solutions de communication interactive innovantes, notamment la gestion numérique des marques, la gestion de contenus, les stratégies de commerce électronique, les médias sociaux, le Web 2.0 et le marketing en ligne. Elle compte parmi ses clients des marques telles qu’AstraZeneca, Siemens, Bellicon, Weleda, et Sara Lee. Pour la deuxième fois au début de 2010, l’agence est arrivée en tête du classement qualitatif des agences interactives Benchpark devant 450 agences concurrentes.

Digital District

L’acquisition de Digital District illustre la volonté claire de Publicis Groupe de renforcer ses compétences numériques dans la communication santé. L’Internet est devenu la première source d’information pour tous les individus en quête de réponses sur leur santé, et les recherches en la matière font partie des principales requêtes sur le Web. Vu la puissance de l’outil Internet pour les marques de soins et de médicaments, le conseil en marketing et en communication numérique jouera un rôle croissant pour les entreprises pharmaceutiques et les institutions proches de ce secteur.

Alain Sarraf, Président Europe de Publicis Healthcare Communications Group, commente: «Alors que notre objectif est d'offrir davantage d’expertise numérique à nos clients, l’ajout de Digital District renforce significativement notre savoir-faire dans ce domaine. Cette acquisition conforte notre position et nous permet de promouvoir une offre numérique plus forte en Europe.»

samedi 11 décembre 2010

Télémédecine : SNITEM et ANTEL, un partenariat en direction du déploiement

Syndicat National de l’Industrie des Technologies Médicales SNITEM6 décembre 2010 – Quelques semaines après la parution du décret sur la télémédecine, le Syndicat National de l’Industrie des Technologies Médicales (SNITEM) et l’Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) signent un accord de partenariat autour de cette pratique médicale.

Pourquoi signer une convention de partenariat ?

A la suite de la récente parution du décret d’application de l’article 78 de la loi HPST (portant réforme de l'hôpital et relative aux patients, à la santé et aux territoires), qui permet de fixer les conditions de mise en oeuvre et de prise en charge de la télémédecine, Pierre Simon, Président de l’ANTEL, souligne « qu’il constitue un pré-requis au déploiement de cette pratique en France », tandis que Christian Seux, Président du SNITEM précise « qu’il reste encore cependant à
initier le chantier nécessaire à une prise en charge effective des différentes activités de télémédecine (téléconsultation, téléexpertise, télésurveillance médicale, téléassistance médicale). » Ainsi les deux parties sont convenues de développer leur coopération dans ce domaine.

Avancer ensemble

Ce partenariat vise notamment à :
  • promouvoir le concept de télémédecine,
  • contribuer ensemble au développement des systèmes de télémédecine, dans le respect des dispositions réglementaires applicables en vigueur, en encourageant l’interopérabilité entre les dispositifs médicaux communicants assurant la prise en charge par télémédecine de patients souffrant de pathologies multiples,
  • échanger de l’information et de l’expertise dans le domaine de la télémédecine.

antel Association Nationale de Télémédecine
L’ANTEL est une société savante qui a notamment pour objet de développer la recherche et de promouvoir les nouvelles organisations de soins et les pratiques des professionnels de santé dans tous les domaines où la télémédecine apportera une valeur ajoutée à la prise en charge des patients. Cette association entretient des relations de coopération avec les sociétés savantes médicales, les ordres professionnels, les organes représentatifs des industries de la santé et les associations de patients. Cette association a par ailleurs vocation à diffuser toute information sur la télémédecine auprès des Pouvoirs Publics, des médecins, des professions paramédicales et de la population.

Le SNITEM est une organisation professionnelle qui représente la majorité des fabricants du secteur de l’industrie des technologies médicales. Plus particulièrement, le SNITEM a pour principal objet d’organiser le groupement, sur le plan national, des entreprises opérant sur le marché des produits ou services qui relèvent de l’industrie des Technologies Médicales, des Dispositifs Médicaux et des Technologies de l’Information et de la Communication en Santé (TICS) et plus particulièrement des dispositifs médicaux communicants utilisés en télémédecine et de les représenter, tant en France qu'à l'étranger, auprès des Pouvoirs Publics, et de tout organisme public ou privé, des Chambres de Commerce et autres Groupements industriels, commerciaux ou professionnels...

mercredi 1 décembre 2010

Étude Accenture 2010 : Communication Patient-Industrie Pharmaceutique sur Internet

AccentureUne étude d'Accenture réalisée aux Etats-Unis en Août Septembre 2010 révèle que 68% des américains recherchent de l'information médicale sur Internet et que sur ces 68% :
  • 92% consultent des sites santé, d'information, les réseaux sociaux et les communautés en ligne,
  • 11% seulement consultent les sites de l'industrie pharmaceutique.
Pourtant dans cette étude, 69% des personnes interrogées souhaitent que les laboratoires apportent une information sur leurs médicaments et les maladies qu'ils traitent. Mais plus que de l'information et une simple mise à jour des sites web, il y a une attente pour une expérience interactive qui montre que l'industrie comprend ses patients.

La communication sur Internet de l'Industrie Pharmaceutique ne serait plus adaptée aux nouveaux canaux de communication et elle manque ainsi des opportunités importantes.

Les sociétés qui prennent en compte, dans leur communication, des innovations telles que les réseaux sociaux et les téléphones mobiles seront mieux placées pour communiquer avec leurs patients.

jeudi 25 novembre 2010

Medtronic Eureka : site Internet de Medtronic pour la soumission d'idées de nouveaux dispositifs médicaux

Medtronic, société leader dans le domaine des technologies médicales, a créé Medtronic EUreka, le portail européen pour la soumission d'idées.

Les idées d’inventeurs européens, en collaboration avec Medtronic, ont déjà permis d’améliorer la vie de millions de patients à travers le monde.

Extraits de la page du processus de sélection :

"...Quels types d'idées recherche Medtronic ?

  • De part la nature de son activité, Medtronic se concentre sur les dispositifs médicaux et les dispositifs associant principe actif et technologie.
  • Grâce à notre gamme de produits et à notre groupe institutionnel Science, Technologie et Initiatives, nous possédons les compétences en matières de recherche, d'ingénierie et de distribution commerciale pour lancer de nouveaux concepts prometteurs sur le marché.
  • Sur la page Soumettez votre idée du site Medtronic EUreka, nous vous demandons de nous fournir vos coordonnées ainsi que des informations relatives à votre idée, son stade de développement et les domaines thérapeutiques auxquelles elle est adaptée. Ceci nous permettra de mieux évaluer votre projet. Si vous le souhaitez, vous pouvez également soumettre des idées confidentielles ; vous devrez dans ce cas fournir des informations supplémentaires.

page soumettez une idée de Medtronic EUrekacliquer sur l'image pour l'agrandir

Question 1: Est-ce plus qu'une idée ?


Nous recevons de nombreuses idées qui sont en fait le simple concept d’une nouvelle fonctionnalité d’un produit, et qui ne fournissent aucune indication relative à la mise en place de cette fonctionnalité. Les brevets sont en général uniquement délivrés pour la méthode, le processus et/ou la structure qui définit la fonctionnalité, non pas pour le concept de la fonctionnalité lui-même. Bien que ces concepts puissent nous être utiles, ils ne représentent habituellement que le point de départ de tout futur travail permettant le développement de produits commercialisés, et peuvent ne pas impliquer de rémunération de la part de Medtronic. Afin de vérifier si votre idée va au-delà du concept, interrogez-vous sur le fait qu’elle puisse être convertie en un prototype en état de fonctionnement. Si cela n'est pas le cas, l'idée est-elle suffisamment bien définie pour permettre à une personne experte de comprendre et de décrire les éléments nécessaires à la fabrication d'un prototype (ceci est généralement le cas pour les idées relatives à un logiciel ou un mécanisme simple) ? Ou nécessite-t-elle une phase de développement ou d'expérimentation supplémentaire importante?

Question 2: Votre idée est-elle nouvelle?


Des recherches dans les brevets publiés, la presse spécialisée et les produits existants n'ont pas révélé une idée similaire déjà existante? Une personne experte est d'avis que votre idée est nouvelle?

Lire attentivement la page "Informations importantes" afin de comprendre les droits et les obligations juridiques impliqués par la soumission d'une idée sur le portail Medtronic Eureka.

MD Start chronologie de l'innovation médicale européennecliquer sur l'image pour l'agrandir (source : MD Start)

Medtronic travaille avec des partenaires dont MD Start, un incubateur d'idées européen qui facilite le développement de concepts dans le domaine des technologies médicales, pour optimiser le potentiel des idées nouvelles..."

mercredi 24 novembre 2010

Vidéo du Laboratoire Lilly : "Le Business Du Siècle" (Internet principal vecteur de la contrefaçon de médicaments)



Vidéo de Lilly France :"Le Business Du Siècle"

..."...Avant sa commercialisation, un médicament doit obtenir une Autorisation de Mise sur le Marché (AMM) délivrée soit par l'Agence Française de Sécurité Sanitaire des Produits de Santé (AFSSAPS), soit par la Commission Européenne. L'AMM garantit la sécurité, la qualité et l'efficacité du médicament.

Lilly s'engage dans la lutte contre les faux médicaments

L'achat de médicaments sur Internet peut représenter un véritable danger pour votre santé si celui-ci est contrefait (soit 1 médicament sur 2 vendu sur Internet). C'est pour informer et sensibiliser le grand-public de ces dangers, que le Laboratoire Lilly lance aujourd'hui une campagne d'information, avec un film qui lève le voile sur les coulisses du marché des faux médicaments. Imaginez une usine quelque part en Europe. Un jeune chef d'entreprise, presque sympathique, qui semble avoir trouvé le bon filon pour faire fortune. Puis, au fur et à mesure du déroulement du film, vous découvrez que ce chef d'entreprise, n'est rien d'autre qu'un homme sans scrupules. Il fabrique, dans son usine à l'hygiène déplorable, de faux médicaments qui sont envoyés partout dans le monde. La vitrine de ce commerce immonde : un site Internet propre, aseptisé, dans les tons blanc et vert, qui pourrait séduire les Internautes, et même les plus méfiants. Ce film, qui reprend les codes du documentaire, est exclusivement diffusé sur Internet, notamment via YouTube, car c'est sur le Net que pullulent ces sites illégaux, aux allures de véritables pharmacies virtuelles, qui proposent des médicaments à des prix défiants toute concurrence.

Qu'est-ce qu'un médicament contrefait ?

Selon l'OMS, un médicament contrefait est un médicament qui est délibérément et frauduleusement muni d'une étiquette n'indiquant pas son identité et/ou son origine véritable. La contrefaçon peut concerner aussi bien des produits de marque que des produits génériques. Aujourd'hui, la contrefaçon de médicaments est un phénomène en pleine expansion : plus d'un médicament sur deux vendu sur Internet est une contrefaçon...

[...]

...Internet principal vecteur de la contrefaçon

Les boites mails des internautes sont régulièrement inondées de spams incitant à l'achat de médicaments sur Internet. Les médicaments les plus vendus sur Internet sont les médicaments traitant les troubles de l'érection et les produits d'amaigrissement. Ces sites Internet créent la confusion chez les consommateurs puisqu'ils se font passer pour des médicaments autorisés. Entre 4500 et 15000 sites internet vendent des IPDE5 (Inhibiteurs de la phosphodiesterase de type 5), médicaments indiqués dans les troubles de l'érection. Pourtant, plus de la moitié des médicaments vendus sur Internet sont des contrefaçons.

Les contrefacteurs profitent du tabou dont la sexualité fait encore souvent l'objet : la difficulté de consulter, de se rendre à la pharmacie sont autant d'obstacles qui orientent les futures victimes vers l'achat de médicaments sur internet.

A ce jour, le droit français n'autorise pas la vente de médicaments sur internet..."...

mardi 23 novembre 2010

Étude sur l'utilisation des smartphones par les médecins aux États-Unis en 2010

Spyglass Consulting Group
Selon la dernière étude « Point of Care Communications for Physicians » de Spyglass Consulting Group aux États-Unis en 2010 94% des médecins interrogés disent utiliser des smartphones contre 59% en 2006 ce qui représente une augmentation de 60%, une croissance beaucoup plus importante que dans la population générale.

Ce téléphone mobile intelligent, iPhone d'Apple ou encore Blackberry de RIM, est utilisé par les médecins pour leurs communications professionnelles pour accéder à l'information médicale, par exemple.

Ces médecins estiment que le smartphone permet une meilleure communication et collaboration, rationalise la productivité, et améliore les soins aux patients, et la sécurité.


jeudi 18 novembre 2010

Lancement de Meamedica.fr : site internet pour noter les médicaments

[AFP] La version française d'une plate-forme européenne basée aux Pays-Bas, permettant aux patients de donner leur avis sur les médicaments et de les noter selon plusieurs critères, vient d'être lancée sur internet.
Près de 400 avis étaient en ligne mercredi [17 novembre 2010] en début d'après-midi, regroupés par catégories ou par médicaments.
"Avant d'être mis en ligne, chaque avis est contrôlé par un pharmacien afin de garantir la qualité du site", a précisé dans un communiqué la société néerlandaise créatrice, Insight Pharma Services.
Le site français, dont la naissance a été annoncée mercredi par le Quotidien du médecin, permet au patient de donner son avis sur un médicament et de noter (de une à 5 étoiles) son "efficacité", ses "effets secondaires", la "gravité des effets secondaires", sa "facilité d'emploi" et la "satisfaction générale".

Meamedica.fr
Meamedica.fr a pour but d'apporter un "soutien" au patient dans son utilisation des médicaments, grâce à l'avis d'autres utilisateurs, ce que ne fait pas ou peu "l'approche théorique dans les brochures ou dans la notice d'emploi", a expliqué la créatrice du site, Wendela Wessels.
Le site, qui ne comporte pas de publicité, se revendique "indépendant et donc pas lié à quiconque dans le monde médical ou pharmaceutique".
C'est le 5e à ouvrir en Europe, après les Pays-Bas en 2008 (plus de 11.000 avis), l'Allemagne, l'Autriche et la Suisse. Les prochains pays sur la liste sont l'Espagne et l'Italie, sans doute en 2011, a précisé la société.

mercredi 17 novembre 2010

Kadrige : nouvelles études réalisées par STETHOS sur l'adoption de la visite « hybride » en Europe

KadrigeParis, France – le 9 Juin 2010 - Kadrige annonce la disponibilité de nouvelles études réalisées par STETHOS sur l'adoption de la visite « hybride » en EuropeKadrige , Leader de solutions de visite médicale à distance et de solutions de communication multi canaux innovants (en mode SaaS : Software-as-a-Service) pour les professionnels de santé, a mandaté STETHOS, groupe international d’études et de conseil marketing, indépendant et spécialisé dans la Santé, pour mener une étude sur le marché de l’e-detailing et, plus particulièrement, sur un nouveau canal de promotion imaginé et commercialisé par Kadrige : la visite Hybride.

LA VISITE HYBRIDE, LE NOUVEAU MODE DE PROMOTION DES MEDICAMENTS

Le constat est simple : la visite médicale change et le métier du délégué médical doit s’adapter. Aujourd’hui, certains laboratoires ont déjà pris un nouveau tournant pour faire évoluer l’activité de leurs équipes de vente en s’appuyant sur des technologies innovantes. Un grand nombre de visiteurs ne réalise plus seulement la promotion des médicaments auprès des Professionnels de Santé en visite face/face, sur le lieu de travail des praticiens, mais aussi à distance, en web conférence, grâce à un couplage Internet et téléphone. C’est cette association de visites face/face et de e-visites réalisées par le même commercial que l’on appelle la Visite Hybride.

L’objectif de cette étude, menée dans un premier temps en France et en Allemagne entre Janvier et mars 2010, était d’évaluer le potentiel d’adoption de la visite médicale hybride sur ces deux marchés pharmaceutiques et de comparer les tendances entre les deux pays.

STETHOS
Sur un échantillon représentatif de la population médicale, trois typologies de médecins ont été contactées dans le cadre de cette étude: les médecins généralistes, les spécialistes ayant une activité purement hospitalière, les spécialistes de ville (activité libérale ou mixte) ayant eu ou non l’expérience de ces visites hybrides.

Les résultats de ces études démontrent une adhésion forte aux visites hybrides de la part de l’ensemble des médecins, généralistes et spécialistes, tant en France qu’en Allemagne et un très bon niveau de satisfaction quant à la qualité du contenu des visites, à l’interactivité, à la facilité d’utilisation et à la souplesse d’organisation... lire tout le communiqué de presse Kadrige -

mardi 16 novembre 2010

Télémédecine au Kenya

15 novembre 2010 - Une video de CNN montre comment une clinique au Kenya fait de la télémédecine grâce à un ordinateur, un scanner et un appareil photo numérique :



source : CNN 15 novembre 2010 -

vendredi 12 novembre 2010

E-santé : KHRESMOI, projet européen d’envergure coordonné par HES-SO Valais Wallis

KHRESMOI medical information analysis & retrieval9 novembre 2010 - La HES-SO Valais Wallis s’est vu confier la coordination d’un très important programme européen FP7 de plus de 10 mios d’euros. Ce projet lancé récemment avec l’ensemble des partenaires à Vienne porte sur l’amélioration des recherches internet dans le domaine de la e-santé. C’est la première fois qu’une HES suisse se voit confier un projet de cette importance sur le plan européen.

Présentation des travaux de recherche en matière d’e-santé de la HES-SO Valais Wallis. L’institut d’informatique de la HES-SO Valais Wallis du Technopôle de Sierre est positionné dans la digitalisationdes services et celles-ci s’appliquent à différents domaines, notamment la e-santé. Fort d’une cinquantaine de collaboratrices et collaborateurs scientifiques, l’institut travaille en étroite collaboration avec l’Institut de recherche ICARE et l’IDIAP (Institut Dalle-Molle d’Intelligence artificielle).

Le projet Khresmoi

« Ce projet de recherche européen s’inscrit dans une suite de projets que nous développons depuis plusieurs années dans le domaine de la e-santé depuis 2007 », souligne Henning Müller, coordinateur européen de ce projet et professeur HES, collaborateur de l’Institut Informatique de gestion HES-SO Valais Wallis.
KHRESMOI-Knowledge Helper for Medical and Other Information Users, lancé début septembre 2010, s’étend sur quatre ans. Il se concentre sur la vérification de la qualité des documents médicaux en ligne ainsi que la prise en compte du niveau de connaissances des personnes recherchant des informations (grand public ou personnel médical). Il s’est fixé pour objectif de créer une plate-forme multilingue et multimodale de recherche et d’accès en ligne aux informations médicales. Outre la recherche multilingue de documents et d’images, les résultats de recherche doivent également comporter de courts résumés dans la langue utilisée par les personnes en quête d’informations. Contrairement à d’autres projets de e-santé, KHRESMOI se consacre à la masse d’informations médicales disponibles en ligne et de leurs liens avec des données de patients et non à la gestion de dossiers médicaux.
Le budget global de ce projet est de 10 mios d’euros sur 4 ans, dont 8.2 mios proviennent de l’Union européenne. Le consortium en charge du projet, s’appuie sur un partenariat mené avec douze institutions de neuf pays européens, six Hautes écoles, trois entreprises, un institut de recherche, 1 ONG et une association faîtière. Sur le plan national, le projet Khresmoi travaille notamment en partenariat avec la HES-SO Genève (HEG).

Les projets de la e-santé menés par HES-SO Valais Wallis

L’Institut d’informatique de la HES-SO // Valais Wallis se positionne depuis dix ans par ses compétences-clés, qui sont le développement de systèmes d’informations distribuées et la digitalisation des services. Les applications de ces nouvelles technologies sont multiples et particulièrement utiles dans des domaines comme la e-santé, la cyberadministration et l’internet de l’énergie... lien vers le PDF du communiqué de presse HES-SO (Haute École Spécialisée de Suisse Occidentale) Valais Wallis -

KHRESMOI vise à développer un système de recherche multilingue et multimodal donnant accès à de l’information et des documents biomédicaux, au travers des fonctionnalités suivantes :
  • Extraction efficace et automatique d’information à partir de documents biomédicaux, incluant des améliorations utilisant un approvisionnement par la foule (crowdsourcing) et un apprentissage actif, ainsi qu’une estimation automatique du niveau de confiance et d’expertise de l’utilisateur cible
  • Analyse automatique et indexation d’images médicales en 2D (Rayons X), 3D (IRM, CT), ainsi que 4D (IRMf)
  • Mise en relation de l’information extraite d’images et de textes biomédicaux non structurés ou à moitié structurés et de l’information structurée au sein de bases de données de connaissances.
  • Support de recherche inter-langue, incluant des requêtes multilingues, et retournant des extraits pertinents traduits automatiquement.
  • Set d’interfaces utilisateur adaptatives pour l’assister lors de la formulation de la requête et afficher les résultats de recherche au travers d’une visualisation ergonomique et interactive.
Le projet va naviguer entre plusieurs composants open source, qui seront intégrés dans une architecture innovante et ouverte pour offrir une recherche robuste et évolutive d’information biomédicale.

KHRESMOI
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Cas d’utilisation :

  • Le grand public veut un accès à de l’information médicale fiable et compréhensible dans sa langue maternelle.
  • Les médecins ont besoin de réponses précises et rapides – une recherche sur PubMed demande en moyenne 30 minutes, alors qu’ils ont typiquement 5 minutes à disposition. En outre, plus de 40% des recherches échouent à fournir de l’information pertinente.
  • Les radiologues croulent sous les images et ont besoin d’outils automatiques améliorés pour leurs analyses – dans les grands hôpitaux, plus de 100GB (dépassant les 100.000 images) sont produits tous les jours. Des groupes représentatifs des utilisateurs finaux sont disponibles pour des évaluations importantes, accessibles au travers d’un moteur de recherche médical avec 11.000 requêtes par jour, ainsi qu’une association professionnelle de 2.700 médecins et deux départements de radiologie avec 175 radiologues.

Impact attendu

  • Impact médical: Amélioration de l’accès à l’information médicale pour les médecins, de manière à ce qu’ils aient plus de temps pour parler aux patients et les traiter, en ayant toute l’information nécessaire pour le faire plus efficacement. Conversion de la quantité d’images radiologiques en une aubaine plutôt qu’une malédiction.
  • Impact scientifique: Fourniture de bases de données à grande échelles inexistantes actuellement pour le grand public et de scénarios réalistes sur lesquels évaluer les nouvelles technologies. Mise à disposition des techniques de pointe implémentées en logiciel open source.
  • Impact industriel: Amélioration de la stabilité, de la performance et des caractéristiques des produits existants open source, et de là, leur attractivité et leur pertinence pour un déploiement plus large.
  • Impact public: Le grand public pourra utiliser le moteur de recherche de Health on the Net, amélioré par la technologie KHRESMOI, relativement tôt dans le projet.

mardi 9 novembre 2010

Le Diabète sur Facebook : une étude de l'Université d'Harvard

harvard university
Une équipe de l'université d'Harvard a réalisé une étude qualitative des messages diffusés dans les groupes « Diabète » sur Facebook et l'a publiée en octobre dans le « Journal of General Internal Medicine »

Online Social Networking by Patients with Diabetes: A Qualitative Evaluation of Communication with Facebook, Jeremy A. Greene1 , Niteesh K. Choudhry1, Elaine Kilabuk2 and William H. Shrank1, Division of Pharmacoepidemiology and Pharmacoeconomics, Department of Medicine, Brigham and Women’s Hospital and Harvard Medical School, 1620 Tremont Street, Suite 3030, Boston, MA 02120, USA, Center for American Political Studies, Harvard University, Boston, MA, USA
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  • 65,7% des messages fournissent de l'information comme des témoignages
  • 13,3% ont des questions
  • 28,8% ont des messages de soutien
  • 3% n'ont pas de rapport avec le sujet
  • 26,7% ont des messages promotionnels

étude harvard university sur groupes diabète facebook
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vendredi 5 novembre 2010

Résultats du sondage : « L’intérêt des Français pour la télémédecine »

Groupe Pasteur Mutualité,  résultats d’un sondage ViaVoice sur  l’intérêt des Français pour la télémédecine 3 novembre 2010 - 81% des Français ne sont pas prêts à consulter leur médecin sur Internet, selon un sondage Groupe Pasteur Mutualité : « L’intérêt des Français pour la télémédecine » - L’enquête révèle le peu d’attirance des Français pour la télémédecine ainsi que leurs réticences actuelles à consulter un médecin sur le web -

Alors qu’un décret public vient d’autoriser la médecine par Internet, Groupe Pasteur Mutualité, premier acteur mutualiste des professionnels de santé, présente les résultats d’un sondage sur « l’intérêt des Français pour la télémédecine », une étude réalisée avec l’institut de sondage ViaVoice .

La télémédecine : une innovation qui intéresse peu les Français

Avec seulement 17% des personnes interviewées qui se déclarent prêtes à utiliser Internet pour consulter un médecin (2% ne se prononcent pas), la télémédecine attire peu de patients.

81% des Français ne sont donc pas prêts à consulter un médecin sur le web. Les réticences peuvent être multiples : crainte d’un mauvais diagnostic, besoin de proximité dans la relation avec le médecin, réglementation pas encore mise en application, procédure méconnue, etc.

Groupe Pasteur Mutualité, résultats d’un sondage sur  l’intérêt des Français pour la télémédecine , ViaVoice
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Les jeunes actifs et les citadins plus enclins à utiliser la télémédecine

L’intérêt pour la consultation par Internet varie fortement selon les catégories concernées : les sondés les plus intéressés sont majoritairement des individus qui ont moins de temps libre que les autres (actifs, jeunes parents, etc.) ou/et qui utilisent davantage Internet (moins de 50 ans, cadres, professions intermédiaires)

Les actifs et jeunes parents sont ainsi plus intéressés que la moyenne par la télémédecine : 22% des 25-49 ans sont prêts à consulter un médecin sur Internet. À l’inverse, les jeunes de 18 à 24 ans, plus disponibles, ne sont que 14% à se déclarer prêts à utiliser la télémédecine.

Ce sondage révèle également que les personnes âgées de plus de 65 ans, moins à l’aise avec les outils informatiques et pour la plupart à la retraite, ne sont que 7% à être prêts à utiliser cette médecine virtuelle.

De même, les catégories socio-professionnelles les plus intéressées sont les cadres (32%) et les professions intermédiaires (24%). Cet intérêt pour la télémédecine s’explique sans doute par leurs horaires de travail importants et par leur facilité d’accès à internet (lieu de travail et domicile).

La télémédecine pour faciliter l’accès aux soins ?

La télémédecine est souvent présentée comme une solution à la désertification médicale dont souffrent certaines régions, mais ce sont paradoxalement les habitants de l’agglomération parisienne qui se montrent les plus intéressés (22%), alors que les habitants de communes rurales sont plus réticents (14%).

mercredi 3 novembre 2010

Nouveau partenariat de The Lancet avec univadis®

grand portail d'information et de formation médicale de MSD merck & Co2 novembre 2010 - Le service de documentation médicale Just Published disponible sur le grand portail d'information et de formation médicale de MSD - MSD (connue sous le nom de Merck aux États-Unis et au Canada) est heureuse d'annoncer un tout nouveau partenariat exclusif entre univadis® – (le portail Internet de MSD consacré à la formation médicale et aux actualités impartiales sur la santé) et The Lancet – (l'un des plus grands journaux indépendants de médecine général au monde). Grâce à un service mondial unique de documentation médicale appelé Just Published, les spécialistes cliniques abonnés à univadis® pourront accéder gratuitement au texte intégral des articles publiés récemment dans The Lancet. Ce nouveau service sera disponible par l'intermédiaire du site www.univadis.com.

page d'accueil univadis
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Just Published vise à aider les cliniciens à se tenir au courant de l'actualité clinique la plus récente et la plus pertinente dans leur domaine de spécialité en proposant le texte intégral d'articles de recherche clé récemment publiés dans The Lancet, et des résumés de recherche hebdomadaires d'autres grands journaux. Pour assurer l'indépendance et l'impartialité totales de Just Published et la diffusion des informations les plus pertinentes, les articles tirés d'autres grands journaux seront identifiés et sélectionnés en fonction de critères tels que les facteurs d'impact du journal, les références de l'auteur et le téléchargement des articles.

thelancet.com
« En raison du foisonnement des articles médicaux disponibles aujourd'hui en ligne, il n'a jamais été aussi important pour les professionnels de la santé de pouvoir accéder rapidement à des informations médicales impartiales et fiables. Nous sommes ravis de nous associer à The Lancet pour améliorer le portail univadis® en fournissant aux médecins du monde entier des informations médicales indépendantes et complètes. La prestation de services professionnels de haute qualité, tels que univadis® et en définitive, l'amélioration des résultats pour le patient, s'inscrivent dans le cadre de notre stratégie d'entreprise, qui remonte à la publication du premier Manuel Merck il y a plus de 100 ans », a déclaré Fabrice Valay, directeur d'univadis® chez MSD.

Merck & Co MSD
Les extraits d'articles publiés dans The Lancet et les résumés tirés d'autres journaux seront initialement offerts en anglais, en français, en allemand, en italien, en espagnol, en portugais (Brésil) et en japonais, et desserviront les dizaines de pays dans lesquels le service univadis® est disponible....

mardi 2 novembre 2010

Carrefour de la Télésanté et des Systèmes d'Information en Santé, le 4 novembre 2010, Paris, Assemblée nationale

CATELCarrefour de la Télésanté et des Systèmes d'Information en Santé - 4 novembre 2010, Paris, Assemblée nationale -
Le CATEL organise, en partenariat avec le Conseil National de l'Ordre des Médecins, IBM et d'autres partenaires industriels, le Carrefour de la Télésanté, le 4 novembre 2010, avec au programme des conférences et ateliers de réflexion et un service de rendez-vous d'affaires.
Cette grande rencontre aura lieu à Paris dans la prestigieuse salle Victor Hugo de l'Assemblée nationale.

Carrefour de la Télésanté et des Systèmes d'Information en Santé - 4 novembre 2010, Paris, Assemblée nationale -
Au programme de cet événement très dense :
- une table ronde des principaux Ministères concernés par la télésanté,
- une conférence sur « Télésanté : le champ des possibles… »,
- plusieurs tables rondes sur les systèmes d'information en santé (présentations originales),
- un service de rendez-vous individuels spécialisés.

jeudi 28 octobre 2010

Application iSommeil : mon mobile veille sur mon sommeil

isommeil application iphoneMERCREDI 20 OCTOBRE - L’application iSommeil sur votre portable - Nathalie Kosciusko-Morizet, secrétaire d’Etat chargée de la Prospective et du Développement de l’Economie Numérique, a lancé en 2009 le projet « Proxima Mobile », premier portail de services publics sur téléphones mobiles. Initiative unique en Europe, ce portail est coordonné par la Délégation aux Usages d’Internet (DUI) et a fait l’objet d’un appel à projets, doté de 10 millions d’euros, permettant de financer les premiers projets. Au-delà de ces services facilitant le quotidien, « Proxima Mobile » est devenu le label garantissant aux citoyens que chaque application accueillie sur ce portail répond à 4 critères essentiels : intérêt général, gratuité, accessibilité et ergonomie.

isommeil enregistreur sommeil ronflement apnées
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Lauréate de l’appel à projet, l’application « iSommeil » développée par le Pr Damien Léger, responsable de l’unité fonctionnelle d’exploration et de prise en charge des troubles du sommeil et de la vigilance de l’ Hôtel Dieu (AP-HP), et Maxime Elbaz, a été lancée en septembre dernier. Cette application vise à améliorer la qualité de vie de toute personne souffrant d’insomnie ou de troubles du sommeil. En France, l’insomnie touche 20% des adultes et 10% de façon sévère. Or, la privation de sommeil chronique augmente le risque d’obésité, de diabète, de maladies cardiovasculaires, l’anxiété et la dépression.

isommeil éveil sommeil
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En utilisant son mobile, l’utilisateur iSommeil pourra en quelques jours obtenir son profil de « dormeur », le confronter aux besoins connus et se comparer en fonction des conseils reçus. L’application permet de dépister insomnie, apnées , somnolence et de transmettre à son médecin les chiffres clés de son sommeil.
Elle donne le signal du sommeil et facilite l’endormissement par des séquences lumineuses et sonores scientifiquement validées. iSommeil donne également des conseils pour mieux dormir et géolocaliser les centres du sommeil les plus proches.

mercredi 27 octobre 2010

MonKronoSanté : application Pfizer pour iPad et iPhone au service du patient et du médecin

MonKronoSanté Pfizer application médicale sur iphone et ipad ...MonKronoSanté est une application simple, qui permet à chaque patient atteint d’une maladie chronique de noter tous les événements de santé qui surviennent au fur et à mesure du temps mais aussi de pouvoir les transmettre lors de la consultation avec son médecin.
Également disponible sur iPhone, MonKronoSanté permet de centraliser l’ensemble des informations médicales de sa famille en un seul endroit, ainsi que la possibilité de composer un appel d’urgence...

[...]

...MonKronoSanté : 5 rubriques pour suivre sa pathologie chronique

A l’initiative de ce projet, le Dr Vincent Varlet, directeur e-Communication de Pfizer, souligne : « Cette nouvelle application iPad constitue une révolution technologique au service de la relation médecin-patient dont nous sommes fiers d’être les pionniers. MonKronoSanté fonctionne en WIFI ; les données échangées voyagent directement de l’iPad ou de l’iPhone du patient à celui du médecin ou inversement, sans être enregistrées dans aucune base de données et sans qu’aucun tiers puisse accéder à ces données »

MonKronoSanté pfizer application iphone
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  • Une rubrique « Personnel » permet de stocker des informations pratiques, coordonnées (adresse, email, téléphones) mais aussi numéro de sécurité sociale, de mutuelle, des numéros administratifs et autres codes d’accès (Sécurité Sociale, Mutuelle, organisme d’invalidité, etc.).
  • Une rubrique « annuaire » permet de stocker toutes les coordonnées des interlocuteurs médicaux. C’est ainsi que le patient pourra compléter des fiches pour son médecin traitant, les autres médecins, les établissements de soins (hôpitaux, hôpitaux de jour, clinique, centre de rééducation…), la pharmacie, les centres d’hospitalisation à domicile (HAD), les infirmières, kinésithérapeutes et tous les autres acteurs de santé partenaires (gestion des déchets médicaux ou DASRI, centres de formation, écoles).
  • Une rubrique "liste des événements" permet de stocker des informations que le patient souhaite noter afin de pouvoir les mentionner lors de sa prochaine consultation, telles que : la date, ce qu’il s’est passé, comment le patient a réagi, s’il a contacté quelqu’un, l’évolution de la situation après la prise en charge. Ainsi, il peut envoyer ou imprimer (via le widget) la liste des événements survenus entre deux consultations.
  • Une rubrique "suivis et scores" permet de noter 3 catégories de données utiles pour le patient et les soignants. - Si il doit surveiller un symptôme particulier avec un score de suivi conseillé par son médecin (échelle de douleur, chiffres d’hypertension, de qualité de vie, de mobilité, de raideur…), il notera la date et le chiffre de ce score ; une courbe de suivi sera mise à jour et le patient pourra surveiller plus facilement les écarts selon les conseils du médecin. - Le patient peut aussi stocker une liste de conseils du médecin (conseil hygiéno-diététique, liste de traitements à suivre, aide-mémoire divers…). - De même si le patient doit régulièrement pratiquer des examens complémentaires (examens biologiques, épreuves fonctionnelles, etc.) il peut noter les résultats lors de la réception ou à l’occasion de la consultation... [PDF] communiqué de presse Pfizer du 14 avril 2010 - monKronoSanté sur iTunes -

mardi 26 octobre 2010

Pôle Cancer-Bio-Santé : lancement de son nouveau site internet www.cancerbiosante.fr

Lancement du nouveau site internet du Pôle Cancer-Bio-Santé
18 Octobre 2010 : le Pôle Cancer-Bio-Santé met en ligne son nouveau site web

Objectif : disposer d’un outil fonctionnel et convivial, misant sur la richesse des informations et du contenu afin de mettre en avant l’actualité de CBS mais aussi celles des adhérents du Pôle ainsi que l’actualité sectorielle d’intérêt pour la communauté Cancer-Bio-Santé.



Un nouveau site Web pour le Pôle CBS

S’inspirant des sites de presse, privilégiant l’information, le nouveau site web de CBS mise sur un graphisme moderne et épuré avec une page d’accueil conviviale, agrémentée de vidéos et sur un contenu riche et actualisé...

Pôle Cancer-Bio-Santé nouveau site web www.cancerbiosante.fr
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[...]

...Objectifs : Communication, Promotion, Animation !



En se dotant de ce nouvel outil et en se positionnant résolument vers une communication innovante, le Pôle CBS renforce sa stratégie de communication, en complémentarité avec les supports et outils classiques (plaquette, rapport d’activité, Rendez-Vous du Pôle, relations presse…).

A travers cette vitrine web et les supports associés, le Pôle a cinq objectifs :

  • Accroître la visibilité du Pôle Cancer-Bio-Santé en Midi-Pyrénées et Limousin, en France et dans le monde, grâce à une version partielle en anglais ;

  • Renforcer la lisibilité et l’impact de ses actions et des services proposés aux adhérents ;

  • Offrir à ses adhérents un support de communication et de diffusion de leurs informations à travers une rubrique Actualités laissant la place aux informations issues des entreprises et organismes membres du Pôle ;

  • Constituer un espace communautaire, servant de support à l’animation de la communauté CBS à travers un annuaire, des fiches de présentation des membres et un suivi des projets ;

lundi 25 octobre 2010

SFR et Agfa HealthCare : accord pour proposer aux établissements de santé une solution d’archivage externalisé des données d’imagerie médicale

Agfa HealthCareOctober 22, 2010 - SFR Business Team et Agfa HealthCare signent un accord pour proposer aux établissements de santé une solution d’archivage externalisé des données d’imagerie médicale
- A l’occasion des Journées Françaises de Radiologie, SFR Business Team et Agfa HealthCare annoncent la signature d’un accord pour la mise en œuvre d’une plate-forme mutualisée de services d’archivage à destination des hôpitaux, cliniques et centres de radiologie. Cet accord permettra aux établissements de santé désireux d’utiliser une solution d’archivage hébergé de le faire immédiatement. Il s’inscrit dans la perspective plus lointaine du projet « France Sans Film » portant sur la généralisation au plan national des PACS (systèmes de communication et d’archivage pour l’imagerie médicale).

Ce partenariat repose sur la complémentarité des expertises de deux acteurs majeurs dans leurs domaines.

SFR Business Team
Premier opérateur alternatif sur le marché des entreprises, SFR Business Team apporte sa maîtrise des réseaux télécoms et, à travers sa Business Unit Services Hébergés, ses infrastructures d'hébergement et son expertise dans l'infogérance de plates-formes à haute criticité.
Agfa HealthCare fournit aux établissements de santé ses compétences dans les services applicatifs de l'imagerie médicale et du PACS et sa connaissance des solutions régionales d'imagerie déjà déployée dans de nombreux pays via la solution IMPAX Data Center.
Agfa HealthCare est un éditeur et intégrateur majeur des Systèmes d'information Hospitaliers (SIH) disposant d'un portefeuille de solutions complet couvrant l'ensemble des besoins des établissements de santé (SIH, Dossier patient, Systèmes d'information pour la radiologie et pour le laboratoire, PACS).
Ensemble, les deux partenaires offrent une solution d'archivage visant à simplifier et à rationaliser le stockage et la gestion à distance des données d'imagerie médicale. La plate-forme mutualisée permet d'archiver, de transférer et, à terme, de partager les données en temps réel. Pour les professionnels, les bénéfices sont nombreux : rapidité et efficacité accrues, travail collaboratif favorisé, fonctionnalités de gestion avancées, systèmes d'informations simplifiés. Ce service est, en outre, associé à une tarification à l'usage.... lire tout le communiqué de presse sur : SFR ou Agfa HealthCare -

vendredi 22 octobre 2010

Décret n° 2010-1229 du 19 octobre 2010 relatif à la télémédecine

Publication du décret relatif à la télémédecine
JORF n°0245 du 21 octobre 2010
Texte n°13

DÉCRET N° 2010-1229 DU 19 OCTOBRE 2010 RELATIF À LA TÉLÉMÉDECINE

NOR: SASH1011044D

DÉCRET N° 2010-1229 DU 19 OCTOBRE 2010 RELATIF À LA TÉLÉMÉDECINE Publication du décret relatif à la télémédecine journal officiel république française JORF n°0245 du 21 octobre 2010 Texte n°13 première page
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extrait :

"...Article 1
Après le chapitre V du titre Ier du livre III de la sixième partie du code de la santé publique est ajouté un chapitre VI ainsi rédigé :

« Chapitre VI
« Télémédecine
« Section 1
« Définition

« Art. R. 6316-1. - Relèvent de la télémédecine définie à l'article L. 6316-1 les actes médicaux, réalisés à distance, au moyen d'un dispositif utilisant les technologies de l'information et de la communication. Constituent des actes de télémédecine :
« 1° La téléconsultation, qui a pour objet de permettre à un professionnel médical de donner une consultation à distance à un patient. Un professionnel de santé peut être présent auprès du patient et, le cas échéant, assister le professionnel médical au cours de la téléconsultation. Les psychologues mentionnés à l'article 44 de la loi n° 85-772 du 25 juillet 1985 portant diverses dispositions d'ordre social peuvent également être présents auprès du patient ;
« 2° La téléexpertise, qui a pour objet de permettre à un professionnel médical de solliciter à distance l'avis d'un ou de plusieurs professionnels médicaux en raison de leurs formations ou de leurs compétences particulières, sur la base des informations médicales liées à la prise en charge d'un patient ;
« 3° La télésurveillance médicale, qui a pour objet de permettre à un professionnel médical d'interpréter à distance les données nécessaires au suivi médical d'un patient et, le cas échéant, de prendre des décisions relatives à la prise en charge de ce patient. L'enregistrement et la transmission des données peuvent être automatisés ou réalisés par le patient lui-même ou par un professionnel de santé ;
« 4° La téléassistance médicale, qui a pour objet de permettre à un professionnel médical d'assister à distance un autre professionnel de santé au cours de la réalisation d'un acte ;
« 5° La réponse médicale qui est apportée dans le cadre de la régulation médicale mentionnée à l'article L. 6311-2 et au troisième alinéa de l'article L. 6314-1.

« Section 2
« Conditions de mise en oeuvre

« Art. R. 6316-2. - Les actes de télémédecine sont réalisés avec le consentement libre et éclairé de la personne, en application notamment des dispositions des articles L. 1111-2 et L. 1111-4.
« Les professionnels participant à un acte de télémédecine peuvent, sauf opposition de la personne dûment informée, échanger des informations relatives à cette personne, notamment par le biais des technologies de l'information et de la communication.
« Art. R. 6316-3. - Chaque acte de télémédecine est réalisé dans des conditions garantissant :
« 1° a) L'authentification des professionnels de santé intervenant dans l'acte ;
« b) L'identification du patient ;
« c) L'accès des professionnels de santé aux données médicales du patient nécessaires à la réalisation de l'acte ;
« 2° Lorsque la situation l'impose, la formation ou la préparation du patient à l'utilisation du dispositif de télémédecine.
« Art. R. 6316-4. - Sont inscrits dans le dossier du patient tenu par chaque professionnel médical intervenant dans l'acte de télémédecine et dans la fiche d'observation mentionnée à l'article R. 4127-45 :
« 1° Le compte rendu de la réalisation de l'acte ;
« 2° Les actes et les prescriptions médicamenteuses effectués dans le cadre de l'acte de télémédecine ;
« 3° L'identité des professionnels de santé participant à l'acte ;
« 4° La date et l'heure de l'acte ;
« 5° Le cas échéant, les incidents techniques survenus au cours de l'acte.
« Art. R. 6316-5. - Les actes de télémédecine sont pris en charge dans les conditions prévues aux articles L. 162-1-7, L. 162-14-1, L. 162-22-1, L. 162-22-6, L. 162-32-1 et L. 165-1 du code de la sécurité sociale.
« Section 3
« Organisation

« Art. R. 6316-6. - L'activité de télémédecine et son organisation font l'objet :
« 1° Soit d'un programme national défini par arrêté des ministres chargés de la santé, des personnes âgées, des personnes handicapées et de l'assurance maladie ;
« 2° Soit d'une inscription dans l'un des contrats pluriannuels d'objectifs et de moyens ou l'un des contrats ayant pour objet d'améliorer la qualité et la coordination des soins, tels qu'ils sont respectivement mentionnés aux articles L. 6114-1, L. 1435-3 et L. 1435-4 du code de la santé publique et aux articles L. 313-11 et L. 313-12 du code de l'action sociale et des familles ;
« 3° Soit d'un contrat particulier signé par le directeur général de l'agence régionale de santé et le professionnel de santé libéral ou, le cas échéant, tout organisme concourant à cette activité.
« Les contrats mentionnés aux 2° et 3° du présent article doivent respecter les prescriptions du programme relatif au développement de la télémédecine mentionné à l'article L. 1434-2 du code de la santé publique.
« Art. R. 6316-7. - Les programmes et les contrats mentionnés à l'article R. 6316-6 précisent les conditions dans lesquelles s'exerce l'activité de télémédecine, en tenant compte notamment des spécificités de l'offre de soins dans le territoire considéré.
« Ils précisent en particulier les modalités retenues afin de s'assurer que le professionnel médical participant à un acte de télémédecine respecte les conditions d'exercice fixées à l'article L. 4111-1 ou à l'article L. 4112-7 ou qu'il est titulaire d'une autorisation d'exercice délivrée par le ministre chargé de la santé et qu'il satisfait à l'obligation d'assurance prévue à l'article L. 1142-2.
« Art. R. 6316-8. - Les organismes et les professionnels de santé qui organisent une activité de télémédecine, à l'exception de la réponse médicale donnée dans le cadre de la régulation médicale, concluent entre eux une convention respectant les dispositions inscrites dans les contrats ou programmes mentionnés à l'article R. 6316-6. Cette convention organise leurs relations et les conditions dans lesquelles ils mettent en oeuvre les exigences mentionnées dans le présent chapitre.
« Art. R. 6316-9. - Les organismes et les professionnels libéraux de santé qui organisent une activité de télémédecine s'assurent que les professionnels de santé et les psychologues participant aux activités de télémédecine ont la formation et les compétences techniques requises pour l'utilisation des dispositifs correspondants.
« Art. R. 6316-10. - Les organismes et les professionnels de santé utilisateurs des technologies de l'information et de la communication pour la pratique d'actes de télémédecine s'assurent que l'usage de ces technologies est conforme aux dispositions prévues au quatrième alinéa de l'article L. 1111-8 du code de la santé publique relatif aux modalités d'hébergement des données de santé à caractère personnel.
« Le consentement exprès de la personne, prévu au premier alinéa de ce même article L. 1111-8, peut être exprimé par voie électronique.
« Art. R. 6316-11. - L'activité de télémédecine peut bénéficier des financements prévus aux articles L. 221-1-1 et L. 162-22-13 du code de la sécurité sociale ainsi que dans les conditions prévues aux articles L. 314-1 et L. 314-2 du code de l'action sociale et des familles. »...
sources : ASIP Santé - Légifrance -

mercredi 20 octobre 2010

« Mobile Health 2010 » : étude Pew Internet sur l'utilisation de l'Internet mobile santé et des applications médicales pour smartphones

19 octobre 2010 - Pew Internet Project publie une étude réalisée avec la California HealthCare Foundation sur l'utilisation aux États-Unis de l'Internet Santé Mobile ou e-santé mobile (Mobile eHealth) : Mobile Health 2010.
On y découvre que :
  • 17% des possesseurs de téléphones mobiles ont recherché de l'information médicale ou santé avec (29% chez les 18-29 ans)

    mobile health 2010 recherche information sur internet avec téléphones mobiles smartphones
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  • 9% des possesseurs de téléphones mobiles ont des applications ou « apps » qui les aident à suivre et gérer leur santé (15% chez les 18-29 ans)

pourcentage utilisation des applications apps pour mobile health 2010 étude pew internet survey
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mardi 19 octobre 2010

L'opération Pangea III INTERPOL-IMPACT cible la vente en ligne de médicaments illicites et de contrefaçon dans le monde entier

Une opération internationale cible la vente en ligne de médicaments illicites et de contrefaçon - La sécurité du public au centre d'une opération INTERPOL-IMPACT menée sur Internet contre la vente de médicaments illicites et de contrefaçon dans le monde entier
LYON (France), 14 octobre 2010 – Plus de 40 pays ont participé à une semaine internationale d'action contre la vente de médicaments illicites et de contrefaçon sur Internet, laquelle visait à sensibiliser le public aux risques sanitaires liés à l'utilisation de ces médicaments et a donné lieu à une série d'arrestations dans le monde entier ainsi qu'à la saisie de milliers de produits médicaux potentiellement dangereux.



L'opération Pangea III, qui cible les sites Web proposant des médicaments illicites et dangereux, est la plus vaste opération de ce type menée sur Internet à l'appui de l'action du Groupe spécial international anticontrefaçon de produits médicaux (IMPACT). Elle a été coordonnée par INTERPOL, l'Organisation mondiale des douanes (OMD), le Permanent Forum of International Pharmaceutical crime (PFIPC), le Heads of Medicines Agencies Working Group of Enforcement Officers (HMA WGEO), l'industrie pharmaceutique et les sociétés de paiements électroniques.

Cette opération mondiale, qui s'est déroulée du 5 au 12 octobre avec le concours de la police, de la douane ainsi que des organismes nationaux de contrôle des médicaments, et le soutien de fournisseurs d'accès à Internet (FAI), de sociétés spécialisées dans les systèmes de paiement et de sociétés de messagerie, s'est concentrée sur les trois principaux services utilisés abusivement par les sites Web illicites pour mener à bien leurs activités, à savoir les fournisseurs d'accès à Internet, les systèmes de paiement électronique et les services de messagerie.



« Par cette opération multisectorielle réunissant les services chargés de l'application de la loi et les autorités sanitaires, l'objectif principal d'INTERPOL dans l'opération Pangea III était d'alerter et de protéger le public en aidant nos 188 pays membres à fermer des sites Web proposant des produits pharmaceutiques illicites, à suivre les mouvements d'argent et à remonter jusqu'aux personnes responsables de la vente de ces produits, qui représentent une si grande menace pour la santé des populations », a déclaré le Secrétaire Général, M. Ronald K. Noble, en soulignant l'importance des partenariats internationaux clés entre INTERPOL et des organismes tels que l'Organisation mondiale de la santé ou l'Organisation mondiale des douanes.

« Alors même que cette opération internationale – la troisième du genre – démontre que les malfaiteurs qui tentent d'utiliser Internet comme un espace sûr et anonyme ne peuvent plus agir en toute tranquillité, nous espérons qu'en sensibilisant les consommateurs aux dangers des pharmacies illégales sévissant sur Internet, ils se montreront plus circonspects lors de l'achat de médicaments en ligne », a ajouté M. Noble.



Pendant cette opération, au cours de laquelle 45 pays participants ont transmis des informations à un centre d'opérations spécialisé au siège du Secrétariat général d'INTERPOL, à Lyon, la surveillance d'Internet a permis de détecter 694 sites Web utilisés pour des activités illicites, dont 290 ont pu être fermés. Par ailleurs, quelque 268 000 colis ont été inspectés par les agents des douanes et des organismes de contrôle des médicaments ; près de 11 000 colis ont été saisis et plus d'un million de comprimés illicites et de contrefaçon – notamment d'antibiotiques, de stéroïdes, d'anticancéreux, d'antidépresseurs, d'anti-épileptiques, de médicaments pour maigrir et de compléments alimentaires – confisqués. Quelque 76 personnes font actuellement l'objet d'une enquête ou sont en détention pour diverses infractions, notamment la vente et la fourniture illicites de médicaments non autorisés ou délivrés uniquement sur ordonnance... lire tout le communiqué de presse d'Interpol - Interpol sur YouTube -

jeudi 14 octobre 2010

PLATINES : PLATeforme d'INformations sur les Etablissements de Santé MCO (Médecine, Chirurgie, Obstétrique).

PLATINES : PLATeforme d'INformations sur les Etablissements de Santé MCO (Médecine, Chirurgie, Obstétrique).

A QUOI SERT CE SITE?
  • À fournir des informations sur les principales caractéristiques (équipement, activité, particularités…) des établissements de santé de court-séjour (activités de médecine, de chirurgie ou d’obstétrique)
  • À diffuser les résultats des indicateurs de qualité des soins généralisés et de lutte contre les infections nosocomiales et les résultats de la procédure de certification
A QUI EST DESTINE CE SITE?
  • Aux usagers, aux professionnels de santé, aux établissements de santé et aux institutionnels
  • À tous ceux qui recherchent des renseignements et des indicateurs sur les établissements de santé
Le site vous permet de consulter la fiche d’information de tous les établissements de santé privés et publics situés en France métropolitaine ou dans les départements d’outre-mer (DOM) qui déclarent des capacités en médecine, en chirurgie ou en obstétrique....

PLATINES : PLATeforme d'INformations sur les Etablissements de Santé MCO (Médecine, Chirurgie, Obstétrique)
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Sources et résultats ?

La plupart de ces données sont collectées annuellement auprès des établissements de santé par le Ministère chargé de la santé dans le cadre de la statistique annuelle des établissements de santé (SAE) et du programme de médicalisation des systèmes d'information (PMSI).

Le site PLATINES est mis à jour et complété au fur et à mesure par des informations plus précises, en particulier dans le domaine de la qualité des soins....